Le numérique, le meilleur met pour mettre l’agro-alimentaire au parfum
Associer carottes et clavier, mixer jarret de porc et souris, assembler de la pintade et de la programmation web. Du producteur à l’assiette, Dijinov accélère la cadence, lisse les angles obstacles. Cette société de conseil en innovation et d’accompagnement à la transformation digitale a la volonté connectée aux écrans de leur ordinateur de dégraisser les excès fardeaux entre les producteurs, les distributeurs, les grossistes et les consommateurs. Dijinov programme le chemin le plus court mais aussi le plus raffiné pour être juste avec le plat, raccord-accord avec les saveurs profondes et les textures soyeuses. Une belle messe culinaire pour un sacro-saint hymen de l’agro-alimentaire et du numérique. Le duo Etienne Sandeyront et Franck Depaillat, grands chefs étoilés numériques truffés de bonnes intentions, fait tout aujourd’hui pour accélérer des fiançailles entre ces deux mondes, sucré et salé, et pour rattraper le retard de la congélation des projets innovants, en invitant tous les mets du panier agro-alimentaire.
« ARRETONS DE PENSER L’AGRO-NUMERIQUE, VIVONS-LE » « Dijinov, intégré dans la SmartCity en accueillant ses clients au sein de son Living Lab Toulousain, s’adresse aux professionnels de l’agroalimentaire, les producteurs, les coopératives, les grossistes, les distributeurs, les logisticiens, les métiers de bouche, les centres de formation et les startup. Mais aussi les professionnels consommateurs de services du secteur, comme la restauration collective, ou ayant des clients ou des fournisseurs dans le domaine » précise Etienne Sandeyront, conscient qu’il est enfin temps de se mettre à la table de l’agro-numérique, et d’arrêter de regarder le plat nous passer sous le nez. « Arrêtons de penser l’agro-numérique, vivons le » surrenchérit Franck Depaillat, soucieux de la nécessité de désaler le secteur, pour en tirer la moelle la plus unanime. « Surtout que notre nouvelle grande région Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon est aujourd’hui la première région de France de l’agro-alimentaire, le premier vignoble de France. Ne passons pas à côté de cette aubaine. C’est pourquoi Dijinov veut accompagner les TPE et les PME du secteur dans la transition numérique. Ayons une vision stratégique de la transformation numérique de l’agro-alimentaire ».
ASSAISONNER LE TERROIR AVEC LE MODERNISME Les menus de Dijinov ne manquent pas de piment, donnent du goût à cet assaisonnement d’évidence du terroir et du modernisme, pour que le mijoté se démarque enfin. « Dijinov se positionne au coeur de l’innovation régionale dans ce secteur, au service des clients qui désirent se démarquer dans leurs produits et leurs services futurs. Nous proposons un catalogue de services innovants délivrés dans un Living Lab pensé pour répondre aux besoins des métiers de nos clients, ainsi que des services sur mesures en assistance technique.Nous proposons aussi des forfaits pour accélérer les transformations digitales. Nous utilisons les objets connectés comme un levier » ajoute Etienne Sandeyront, persuadé qu’il faut enfin s’affranchir des cuissons ratées, des ambitions cramées dans les vieilles poêles: « Dijinov développe sans cesse la mise en pratique de l’innovation en allant vite à la rencontre du marché par la conception et l’expérimentation qui permettra d’éprouver et de mieux percevoir la valeur ajoutée de l’entreprise ».
Avec ses partenaires de jamboree gastronomique, La Mêlée, Toulouse à Table et FRESS, Dijinov n’occulte jamais dans sa casserole numérique des ingrédients majeurs et primordiaux: la revalorisation des filières, la santé et la sécurité alimentaires, la traçabilité et la confiance. La preuve de leur cuisson al dente, Dijinov numérise l’agro-alimentaire avec brio et saveur. « Nous avons été labellisé French tech, nous avons lancé le groupe Dijifood. Nous avons aussi participé au salon de la Mêlée Numérique en 2015. Mais également co-animé l’événement Cuisine Ton Canard dans le cadre du Off de Toulouse à Table », conclut Etienne Sandeyront espérant que les papilles des pros de l’agro-alimentaire vont s’émoustiller pour saliver encore plus avec le numérique.
